l\'histoire en jouant

l\'histoire en jouant

état major confédéré 1861 1865

depuis qq temps je possede des figurines K/C jamais misent en scéne

maintenant c'est fait, avec la présentation de cinq généraux de l'armée du sud de 1861 à 1865

autour de qq cavaliers reconnaissable a la couleur jaune  sur les manches de vestes, casquettes......

le rouge étant réservé à l'artillerie, et le bleu à l'infanterie.

 

 

Robert Edward Lee (Stratford Hall Plantation, Virginie, 19 janvier1807 - Lexington, Virginie, 12 octobre1870) était un militaireaméricain, diplômé de West Point, officier du Génie,  qui s'illustra notamment comme commandant de l'armée  de Virginie du Nord puis comme général en chef des armées des États confédérés au cours de la guerre de Sécession.

Robert Lee est politiquement hostile à la sécession qu'il considère comme une trahison des pères fondateurs. Il revient alors à Washington où, sur proposition du général Winfield Scott, commandant-général de l'armée de l'Union, le nouveau président, Abraham Lincoln, le nomme colonel du premier
régiment de cavalerie le
28 mars1861. Trois semaines après sa promotion, Lincoln lui offre un
commandement avec le rang de général.
S'il est hostile à la sécession, Lee est aussi loyal à son état
natal de Virginie contre laquelle il refuse de prendre les armes. Quand celle-ci s'apprête à rejoindre les
états confédérés d'Amérique après le début de la bataille de fort Sumter le 18 avril1861, Robert Lee refuse sa promotion dans l'armée de l'Union, donne sa démission le 20 avril et retourne en Virginie où, le 23 avril, il prend le commandement des forces armées de Virginie, avant que ne se forme l'armée
des États confédérés dont il devient l'un des cinq premiers généraux.

Durant le printemps 1862, l'armée du Potomac, commandée par le général George McClellan,
avançait sur Richmond, la capitale confédérée. Le général
Joseph Eggleston Johnston ayant été blessé le 1er juin 1862, Lee prend alors le commandement de l'Armée de Virginie du Nord avec pour objectif de défendre Richmond et de repousser l'armée nordiste. Sa nomination fait débat dans la presse sudiste qui le pense trop timide et pas assez agressif pour ce genre de commandement. Après
avoir supervisé le renforcement des défenses de Richmond au cours des trois premières semaines de juin, le général Lee lance une série d'attaques contre les forces armées de McClellan (
bataille de Sept Jours). En dépit de lourdes pertes confédérées et d'une infériorité numérique, Lee parvient à
stopper et repousser McClellan jusqu'à la
James River.

en juin 1863, le général Lee tente une seconde invasion du Nord mais, suite aux importantes pertes de Chancellorsville, la plupart de ses subordonnés ont été renouvelés et sont inexpérimentés. Les 75 000 hommes de l'armée de Virginie du Nord sont regroupés à la fin juin à Cashtown, située 10 km à l'ouest de Gettysburg en Pennsylvanie, et menacent alors Baltimore, Philadelphie et Washington. Déjà en constante infériorité numérique face à l'armée de l'Union, et mal équipée, l'armée confédérée ne se remettra pas des pertes subies lors de la bataille de Gettysburg, la plus sanglante de toute
la guerre civile.

À l'arrivée du général Ulysses S. Grant comme commandant en chef nordiste sur ce front, le général Lee doit mener contre lui une guerre d'usure pendant toute l'année 1864, résistant de plus en plus difficilement aux coups de boutoir de son adversaire.

Le 31 janvier1865, Robert Lee avait été nommé général en chef de toutes les armées confédérées. À court de main-d'œuvre, la question de l'armement des esclaves est devenue une question primordiale pour les troupes confédérées. En dépit de l'hostilité des civils, Lee obtient finalement que des esclaves soient enrôlés dans l'armée confédérée. En contrepartie de ce service, les esclaves-soldats et leurs familles seraient émancipés.Encerclé de nouveau, conscient de l'impossibilité de renverser le court
des évènements, Lee résiste à l'appel de certains de ses officiers de mener une guérilla dans les montagnes. Il décide de capituler à
Appomattox (Virginie) le 9 avril1865.

La popularité de Lee dans le Sud des États-Unis ne s'est jamais démentie et n'a fait que s'accroître depuis sa mort, pour atteindre le Nord. Les qualités de stratège militaire de Lee ont souvent été mises en avant par les historiens militaires mais aussi ses qualités propres comme son sens du devoir.

Robert Lee était « un ennemi sans haine, un ami sans trahison, un soldat sans cruauté, un vainqueur sans oppression, et une victime sans murmure. Il était un officier public sans vices, un citoyen sans
mal, un voisin sans reproche, un chrétien sans l'hypocrisie, et un homme sans ruse. Il était un
César
sans son ambition, un
Barberousse sans sa tyrannie ; un Napoléon sans son égoïsme et un George
Washington sans sa récompense Ce n'est qu'en 1888 que le général Lee recouvre, à titre posthume, l'ensemble de ses droitsciviques (droit de vote)qui lui avaient été retirés en tant qu'ancien soldat confédéré.En juin 1975,à l'initiative d'une campagne menée par le sénateur HarryF. Byrd, une résolution posthume, adoptée à l'unanimité par les sénateurs et par la quasi-unanimité des membres de la chambre des représentants restaura Robert Lee dans l'ensemble de ses droits ainsi que sa citoyenneté américaine. Le président Gerald Ford signa la résolution en août 1975 au cours d'une cérémonie officielle devant le portique de la maison du général Lee à  Arlington en présence d'une douzaine de ses descendants dont Robert E. Lee V, son arrière-arrière-petit-fils. Une procédure similaire de réhabilitation sera également ratifiée sous JimmyCarter en faveur de JeffersonDavis, l'ancien président confédéré.

a droite de R E LEE avec son chapeau beige c'est

Thomas Jonathan Jackson, surnommé Stonewall Jackson, est un officier américain dans la guerre de Sécession, né le 21  janvier 1824 et décédé le 10 mai1863.

En 1861, avant que la Virginie ne fasse sécession, il entre au service des États confédérés d'Amérique. Le 27 avril 1861, le gouverneur de Virginie ordonne au colonel Jackson de prendre le commandement de ce qui deviendra la "brigade Stonewall". Il est promu brigadier general (général
de brigade), le 17 juin 1861.Dans la première bataille de Bull Run, il organise une défense têtue et gagne son surnom « Stonewall ». Un général confédéré harangue ses troupes en le désignant : "C'est
Jackson debout comme un mur de pierre. Décidez-vous à mourir ici et nous vaincrons. Suivez-moi!". Pour certains, cette comparaison a pu être péjorative, au sens où le mur de pierre évoquait l'inaction de Jackson. Ce jour-là néanmoins, la brigade Stonewall repousse les assauts de l'armée de l'Union et,
peu de temps après, Jackson est promu au rang de
major general (général de division).

En 1862, au cours de la campagne de la vallée de Shenandoah, il commande deux divisions dans la vallée de Shenandoah et vainc plusieurs commandants de l’Union grâce à sa vitesse et sa supériorité
manœuvrière. Jackson possède les atouts pour dominer ses adversaires indécis : une grande audace, une excellente connaissance du terrain et un grand talent pour diriger et motiver
ses troupes.
À Chancellorsville, explorant les lignes de l’ennemi après avoir mené une attaque spectaculaire contre le flanc droit de l’Armée du Potomac, il est blessé par ses propres
soldats dans la nuit du
2 mai1863.
Il est touché par trois balles, deux dans le bras gauche et une dans
la main droite. Son bras gauche doit être amputé et, affaibli par
l’opération, Jackson contracte une
pneumonie
dont il meurt le
10 mai1863.

A gauche sur la photo avec une casquette bleue, c'est

 

Pierre-Gustave Toutant de Beauregard,

né le 28mai1818 à Saint-Bernard,mort le 20 février 1893, général confédéré durant la Guerre de sécession.

Il fait une incursion en politique, et échoue aux élections municipales de La Nouvelle-Orléans. Il enseigne ensuite à West Point, dont il est superintendant, lorsque les États du Sud des États-Unis
firent sécession.
Il est immédiatement l'un des huit généraux supérieurs de l'Armée confédérée. Il recommande d'affecter des forces importantes à la défense de La Nouvelle-Orléans, mais n'est
pas suivi par le président
Jefferson Davis. Il est affecté à la défense de Charleston,et commande le premier feu de la guerrede Sécession le 12 avril 1861, à Fort Sumter. Il obtient la victoire à la première bataille de Manassas, mais a moins de réussite à la bataille de Shiloh où il remplace au pied levé legénéral Johnston tué lors de la bataille. Le général Beauregard défend ensuite Charleston de 1862 à 1864. Il est ensuite muté au commandement des forces dans l'Ouest, où il combat les troupes supérieures en nombre du général Ulysses Grant et de William T.Sherman. Il est contraint de se rendre en 1865.

Après la guerre, il défend la cause des esclaves affranchis, se déclarant pour des droits égaux, et leur
droit de vote, ce qui est une attitude rare chez les généraux confédérés.

Il déclinera les offres de la Roumanie et de l'Égypte,qui lui proposaient de prendre le commandement de leurs armées.

De face saluant son chef d'armée, c'est

James Ewell Brown Stuart, dit Jeb Stuart, (né le 6 février 1833 et mort le 12 mai 1864 ) est
un militaire américain, originaire de
Virginie.
Durant la
guerrede Sécession, il devint général de cavalerie dans l'Armée des États confédérés et fut tué au combat lors de la campagne de la Wilderness.

Il  se fit remarquer dès le début du conflit au cours de la bataille de  de Manassas (Bull Run pour les Nordistes)  lorsqu'il parvint à contrer une offensive par une charge du 1er régiment de cavalerie de Virginie. Une fois la bataille terminée, le colonel Stuart et ses hommes participèrent à la poursuite des
Nordistes fuyant sur les routes vers Washington.
Par la suite, Stuart étant rapidement devenu général, participa à la majorité des actions du théâtre de l'est (en particulier la campagne de la péninsule et à Antietam).
En décembre 1862, Stuart, ses cavaliers et son artillerie tractée s'illustrèrent au cours de la défense de
Fredericksburg.

Les succès de Stuart illustrent tout à fait ce que fut l'évolution du rôle de la cavalerie au cours du XIXe siècle. Cette arme, devenue trop vulnérable face aux fusils de plus en plus perfectionnés et
précis, quitta les grands champs de bataille pour se voir confier des tâches de reconnaissance, de mystification ou de pillage.

L'offensive ainsi préparée (la bataillede Sept Jours) parvint tant bien que mal à sauver la capitale de la confédération, succès largement dû au talent d'éclaireur de Stuart et de sa cavalerie. Lee ne tarda guère à récompenser l'habileté de son subordonné puisque celui-ci fut promu au rang de major général et pris la place de "Stonewall"Jackson.

et enfin de face juste devant la tente c'est

 

James Longstreet, dit Old War Horse, né en Caroline du Sud, le 8 janvier 1821, mort à Gainesville
(
Géorgie),le 2 janvier 1904, était un des principaux généraux confédérés ou sudiste de la guerre
de Sécession

Le  17 juin 1861, il est nommé brigadier general (général de brigade) de l'armée confédérée et
commande une brigade de trois régiments à Manassas. Le
7 octobre1861,  il est élevé au grade de major general (général de division) et commande une division de l'arme de la Virginie du Nord. Il contribue activement à la  victoire confédérée lors des Sept jours (25 juin-1er juillet 1862).

En août 1862, durant la campagne de Virginie du Nord, il commande l'aile droite de l'armée de Robert Edward Lee. Au cours de Seconde bataille de Bull Run (28-29 août 1862), son attitude trop circonspecte et la lenteur de ses manœuvres sont critiquées. Mais le lendemain, il contribue brillamment à la victoire confédérée.

Durant la campagne du Maryland, il participe à la bataille d'Antietam (septembre 1862). Son comportement lors de la bataille de Gettysburg a été au centre d'une longue controverse.

La campagne du Tennessee et le siège de Knoxville sont beaucoup moins élogieux pour Longstreet, qui y gagne le surnom de "Pete le lent". Il contribue néanmoins à sauver l'armée de la Confédération lors de la bataille de la Wilderness(mai 1864), où il est sérieusement blessé. Son absence permet à
l'armée de l'Union de se réorganiser.

Il ne rejoint Lee qu'en octobre 1864, avec un bras paralysé et désormais incapable de monter à cheval. Il commande les défenses devant Richmond et se retire avec Lee durant la campagne d'Appomatox.

 

 

 

 

 

 

 



29/06/2012
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